Les temps actuels me font réagir :

Doit-on continuer à ne pas réfléchir plus loin que le bout de son nez.

Si je veux travailler, je me dois de faire travailler ceux et celles qui me font travailler.
Pour autant nous devons être attentifs, les artisans, commerçants, producteurs..., chacun se doit d'être pour le moins respectueux du travail des autres, et si l'on m'achète quelque chose, en retour je me dois de faire travailler ceux et celles qui me font avoir le mien.

La mondialisation, pourquoi pas, mais dans le respect des priorités.
Sachant que celui qui vend le moins cher est souvent celui qui paie le moins d'impôts, si j'utilise ce circuit, je crois que c'est moi qui pour avoir toutes nos infrastructures, paiera les impôts de ceux qui n'en paie pas.

Les GAFA bénéficie d'un statut privilégié en étant installé dans des pays à fiscalité très avantageuse, ultérieurement, c'est autant d'impôts en plus pour moi, chaque fois que j'achète quelque chose par ce biais.

Que dire des produits chinois, (sans leur en vouloir), si ce n'est des produits à court terme qui par leur qualité durerons un temps extrêmement éphémère, et qui écologiquement et pour la planète seront un désastre par leur multiplication, prenant en compte les pays pauvre qui sont eux bien souvent le jouet de tous les systèmes politiques.

Quelquefois pas cher veut dire très cher.
Chaque fois que des achats sont effectués avec comme origine des pays ne respectant pas les règles fiscales, ce sont nous-mêmes qui seront fiscalisés.
Il est normal pour peu que d'autres nous achètes, que nous aussi leur achetions. Mais dans la règle du bon père de famille qui pensera avant tout à ceux pour lequel nous les avons élevés.

J'ai toujours été frappé lorsque j'étais en activité, je m'évertuais à faire travailler mes voisins et confrères, commerçants, artisans, par souci de bonne pratique, et qui en retour dans 90% des cas faisaient leurs achats en dehors de tout ce qui les entouraient, faisaient des kilomètres pour quelques centimes d'économie, ou en ligne dans les pays d'Asie : ces entreprises les faisaient t'ils travailler ?, alors que cela faisait disparaître leurs propres commerces entreprises artisanales, leur production, leurs élevages....
Vouloir pour soi même, veut également dire respect de l'autre.

Pourquoi les personnes se plaignent de ne plus avoir La Poste dans leur village, alors que cela ne les gêne pas de faire 30, 40, 50, 60 ou 80kms pour faire 100 € d'achats dans la ville la plus proche, sans avoir le souci de penser à l'épicerie du village qui en toute modestie salariale apporte à la population un vrai service, et en omettant le coût d'utilisation de leur véhicule, qui après calcul objectif revient beaucoup plus cher.
D'ailleurs les agriculteurs eux-mêmes n'appliquent pas ce bon sens, voulant pour eux-mêmes ce qu'ils ne donnent ou n'achètent pas à leurs propres voisins.

Vous le comprendrez ces observations valent bien sûr quelques adaptations, car les réussites nationales comme les TGV, Airbus, certaines grandes entreprises ..., imposent effectivement une modération de ces propos.
Mais mon souci veut également que je sois attentif à mes achats, aux avantages de notre pays socialement protecteur, au monde animal qui en paie le prix fort, ainsi qu'au respect de tout ce qui pourrait occasionner des dépenses inconsidérées.

Je pense à mes petits-enfants qui seront les dépositaires dans le futur de nos actions présentes, et je m'impose sans être parfait le respect de tout ce qui m'entoure, et pense que notre planète à assez souffert de nos errements égoïstes.
Regardons ce que nous avons fait de notre planète en seulement 1 siècle, comment nous traitons les animaux ou le monde marin, nos inventions qui pour peu d'être à notre avnatge peut également être une catastrophe naturelle, et ne soyons pas l'être vivant qui sera celui qui supprimera les autres.

Nous pourrions à terme le payer très cher. Les temps d’aujourd’hui sont là pour nous rappeler que l’être le plus minuscule pourrait bien être celui qui nous porterai le plus grand tort.

Le coût carbone est paraît il est une bonne pratique, mais à y regarder de près il faudrait peut-être marcher à pied ou à vélo, et laisser la voiture au garage.
J'aimerais bien connaître la vérité à ce sujet.

Mon grand-père avait une ferme et était sans le savoir écologique et beaucoup plus que ceux d'aujourd'hui, car autonome et n’utilisait aucun engrais.
Il ne faisait pas de produits bios ou termes utilisés à ce jour, il faisait simplement une agriculture de recyclage naturel et de fumage que l’on découvre maintenant sous la dénomination permaculture. Sachant que notre pays ne fournit que 20% des produits bio, d’où viennent les autres et sous quelles normes.
Je préfère un bon producteur respectant la nature à celui qui se dénomme bio avec tout le cortège de produits phytosanitaires autorisés.
Personnellement je me méfie des normes, qui sous prétexte de nous vouloir du bien sont bien souvent au service de ceux qui les vantent.

Soyons responsables et ne demandons pas tout à l’état, car nos dettes actuelles seront celles de nos petits-enfants.

Cette opinion n'engage que moi, je remercie ce site pour la liberté de parole qui m'est donné et le fait d'en parler, me permet de réfléchir davantage à ce que le peux encore faire pour ceux et ce qui m'entoure.

Opi2020 - Un citoyen comme les autres

Flash

Savoir-vivre à respecter en refuge de montagne

Passer une nuit perché, sans douche, avec dortoirs... suppose de respecter certaines règles.

Lors d'une étape dans l'un des 350 refuges avec gardien de nos massifs, mieux vaut passer pour un montagnard aguerri qu'un citadin irrespectueux. Voici les règles de bienséance à respecter là-haut pour passer une nuit en toute tranquillité.

Lire la suite : Savoir-vivre à respecter en refuge de montagne

Compostelle : 30 histoires de grand chemin

Qui sont donc ces pèlerins, chaque année plus nombreux à se lancer sur le plus mythique des itinéraires de randonnée ? Réponse dans la trentaine de portraits, brossés d'une plume alerte dans un beau livre tout neuf. A dévorer comme un roman d'été.

Lire la suite : Compostelle : 30 histoires de grand chemin

Du Mont-Blanc à la Bretagne, les paradis de la randonnée

Avec le sentier du GR34 qui longe un littoral spectaculaire sur 2000 km (ici la pointe de Pen Hir, dans le Finistère), la Bretagne a tout pour plaire aux randonneurs.

À quelques jours du salon Destination nature à Paris, coup de flash sur les nouveautés de la découverte buissonnière.

Lire la suite : Du Mont-Blanc à la Bretagne, les paradis de la randonnée

Choix utilisateur pour les Cookies
Nous utilisons des cookies afin de vous proposer les meilleurs services possibles. Si vous déclinez l'utilisation de ces cookies, le site web pourrait ne pas fonctionner correctement.
Tout accepter
Tout décliner
Commercial
Ensemble de techniques ayant pour objet la stratégie commerciale et notamment l'étude de marché.
DoubleClick/Google Marketing
Accepter
Décliner
Unknown
Unknown
Accepter
Décliner
Sauvegarder