Médical

Prendre en charge en urgence les accidents ischémiques transitoires diminue de moitié le risque d'attaques cérébrales ultérieures.
 
Entre 10.000 et 20.000 accidents vasculaires cérébraux (AVC) pourraient être évités chaque année. Comment ? En prenant en charge dans les 24 heures les accidents ischémiques transitoires (AIT), ces prémices de l'attaque cérébrale. Comme l'a révélé une étude publiée dans le New England Journal of Medicine le 21 avril, cette prise en charge précoce réduit de moitié le risque d'AVC dans les trois mois qui suivent.

Les douleurs du genou sont bien connues des sportifs. Fréquentes et invalidantes, elles poussent certains à arrêter toute activité physique de peur d'aggraver leur cas. Et pourtant, en choisissant judicieusement ses exercices, il est possible d'avoir une activité régulière, sans trop appuyer ou solliciter son genou.

Chez les sportifs, le genou est l’une des zones les plus exposées aux chocs et à la pression. Aussi, il est commun d’y ressentir des douleurs plus ou moins fortes. Faut-il pour autant s'astreindre au repos forcé quand elles apparaissent ? Au contraire, il suffit de savoir quels sports et quels étirements pratiquer pour se soulager. Le point avec Flavio Bonnet, kinésithérapeute au Centre Kiné & Sport Paris 5.

Le problème des bactéries résistantes aux antibiotiques a pris une ampleur significative en France depuis les années 2010-2011, explique le Dr Christian Cattoen*.
 
La montée en puissance des bactéries résistantes aux antibiotiques de dernière génération constitue un problème de santé publique à l'échelle de la planète. Les bactéries mutent en permanence pour tenter d'échapper à l'action des antibiotiques, développés pour les combattre. Plus on utilise des molécules puissantes, dites «à large spectre», plus le risque augmente de voir apparaître des bactéries qui leur résistent. Repérer ces germes de façon aussi rapide que fiable pour limiter les risques d'épidémie est le rôle des biologistes médicaux. Dans cette véritable course contre la montre, les nouvelles techniques de biologie moléculaire jouent un rôle clé.

L'appendicectomie, qui reste une référence, est désormais très souvent remplacée par une approche cœlioscopique.
L'appendicectomie reste la première intervention chirurgicale en urgence. Elle est également l'un des piliers de la formation des chirurgiens, l'une des premières interventions qu'ils réalisent car elle est l'une des plus simples lorsque le diagnostic est clair. La technique classique, mise au point à la fin du XIXe siècle, consiste à faire une incision au point de Mc Burney, proche de l'appendice dans la majorité des cas. Ce dernier est alors saisi, coupé et retiré par la même incision. «Les études montrent que cette approche, simple, rapide et peu coûteuse, reste la meilleure et la plus sûre pour tout homme encore jeune et mince», rappelle le Pr Philippe Wind, chef du service de chirurgie générale de l'hôpital Avicenne, à Bobigny.

Cette technique, qui reste une référence, est désormais très souvent remplacée par une approche cœlioscopique: le chirurgien pratique plusieurs micro-incisions par lesquelles il passe à la fois ses instruments et une caméra qui lui permet de visualiser la cavité abdominale. «Les nouveaux chirurgiens apprécient le confort de cette approche, qui leur permet de trouver l'appendice même lorsqu'il n'est pas là où on l'attend, sans avoir à étendre l'incision d'origine», indique le Pr Wind.

La cœlioscopie présente un risque légèrement supérieur de complications

Par ailleurs, la cœlioscopie permet d'explorer la cavité abdominale lorsque, comme cela arrive parfois, l'appendice est mis hors de cause à ce stade. La cœlioscopie présente un risque légèrement supérieur de complications. Elle est par ailleurs plus longue et plus coûteuse. Elle se montre néanmoins supérieure pour les patients obèses ou pour les femmes chez qui les symptômes se révèlent liés à un trouble gynécologique.

Le risque principal, pour les deux interventions, est que le chirurgien «lâche» l'extrémité supérieure de l'appendice avant de l'avoir suturée. Des matières fécales peuvent alors s'échapper et provoquer une infection dans le péritoine. Par ailleurs, un abcès se forme parfois autour de la zone suturée: il faudra intervenir à nouveau pour le drainer.

La dysfonction érectile, communément appelée impuissance, est l’incapacité persistante ou répétée d’obtenir et/ou de maintenir une érection suffisante jusqu’à l’accomplissement de l’activité sexuelle.

C’est là l’essentiel de la définition même si, selon la classification internationale de référence en psychiatrie (DSM-IV-TR), il faut également pour répondre au diagnostic qu’il y ait une souffrance par rapport à cette situation et que le trouble sexuel ne puisse pas être mieux expliqué par une cause, autre que sexuelle (drogue, médicament, maladie générale…).

Tabac, gras, sucre: les ennemis de l'érection

La graisse s'infiltre partout dans l'organisme, y compris dans le pénis. Malheureusement pour ceux qui rêvent d'un agrandissement spectaculaire, cette infiltration est invisible et surtout, nocive pour la santé.

Le pénis est peut-être le thermomètre de la santé cardiovasculaire. Car ce qui est mauvais pour le système cardiovasculaire, et en particulier le cœur et le cerveau, est aussi mauvais pour l'érection. Logique puisque le mécanisme complexe de l'érection repose sur un système de remplissage-vidage sanguin de haute précision (sous régulation nerveuse et hormonale) qui nécessite une «tuyauterie» la plus saine possible.

Les mycoses des ongles ou onychomycose (onycho signifiant ongle en grec) sont des infections causées par un champignon microscopique (dermatophyte), une levure (candida albicans, pour les mains), une moisissure.

Avec l'âge, les hommes peuvent développer silencieusement des pathologies. Le Pr Thierry Lebret de l'hôpital Foch (Suresnes), secrétaire général de l'Association française d'urologie, explique l'intérêt d'une surveillance urologique.

La réponse du Pr Olivier Goëau-Brissonière, président de la société de chirurgie vasculaire de langue française, centre hospitalier universitaire Ambroise- Paré.

La respiration par le ventre : la clé de la gestion du stress

Pour calmer votre stress et vous détendre, respirez par le ventre.

Vous pensiez respirer par le ventre ? Peut-être… ou peut-être, comme une majorité de femmes, utilisez-vous la cage thoracique. Une respiration superficielle, qui permet certes de rentrer le ventre, mais pas de chasser le stress ! La respiration ventrale est pourtant la clé de voûte de toute relaxation réussie, pour un esprit zen dans un corps zen

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Comment booster son ego en prenant soin de soi ?

Pas question de tomber dans un hypernarcissisme propre à l’époque, mais plutôt d'optimiser son ego en se faisant du bien, et de savoir s’aimer pour cheminer vers la sérénité intérieure. Leçon d’autobienveillance.

«Le problème n’est pas d’être narcissique puisque tout le monde l’est, tout dépend de comment on l’est», résume Jean Cottraux, psychiatre et membre fondateur de l’Académie de thérapie cognitive de Philadelphie, dans son dernier ouvrage, Tous narcissiques, I Love Myself, (éd. Odile Jacob).

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Ces erreurs commises au réveil et qui ruinent notre journée

Et s'il suffisait de changer quelques mauvaises habitudes pour se garantir une bonne journée ? 

Appuyer sur "snooze"

Comme une majorité de Français, vous repoussez le réveil chaque matin en appuyant sur la touche « snooze » afin de vous réveiller progressivement. Erreur. Psychologiquement le réveil paraît plus facile mais en réalité il n'en n'est rien, au contraire.

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